LA parution de La Malédiction de la zone de confort approche
et avec Fanny Villiers, chargée de la communication des éditions Pygmalion,
je me suis amusée comme une folle en faisant ce petit autoportrait en… séries.
Et vous, quels personnages vous font craquer ?
JE me réveillais tranquillou ce matin quand je suis tombée sur ça et ensuite de mon lit…
déjà coup de coeur d’une libraire de la Fnac.
Le roman feel good de la rentrée littéraire
c’est officiel, je ne vais plus fermer l’oeil jusqu’au 11 octobre prochain ; ))
Mail de la plus géniale éditrice de la Voie lactée (relu 453 fois).
Velleda sur le parquet de mon salon (oui, Ben est un beau gosse pardon Tom).
Bic qui courent sur mes carnets de notes (unité de mesure le litre d’encre).
Doigts qui refusent de bouger sur le clavier (unité de mesure les heures).
Auteure au fond du trou (unité de mesure le kg).
Naissance de La Malédiction de la zone de confort (unité de mesure : les décibels).
Rose a (presque) tout pour être heureuse. Après 763 auditions infructueuses elle a enfin décroché un grand rôle dans la série télé de l’année. Elle peut compter sur le soutien d’une joyeuse bande et d’un fiancé imaginaire avec qui elle assure vivre, enfin, une relation équilibrée. Son unique manque ? Un précieux recueil de poésie médiévale dont elle a besoin pour calmer son émotivité pathologique.
Ben n’a (presque) rien pour être heureux. En panne d’émotions, le scénariste et auteur de polars n’arrive plus à écrire une ligne. Il se noie dans un quotidien sinistre qu’il dissimule mal à ses deux seuls amis. Son unique réconfort ? Les mails hystériques d’une dingue qui lui réclame un bouquin comme une naufragée, une bouée au milieu du Pacifique.
Ils étaient faits pour ne PAS se rencontrer.
Probabilité qu’ils vivent un jour heureux ensemble : nulle.
Probabilité qu’une probabilité soit fausse : non négligeable.
Et si la vie déjouait les algorithmes ?
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Marianne Levy 